Comment avez-vous vécu ce changement majeur dans le fonctionnement de l’équipe ?
Pour être honnête, ça s’est plutôt bien passé. Nous avons rapidement trouvé nos marques malgré le nouveau fonctionnement et les infrastructures. Sur le plan sportif, c’est une année encourageante : nous avons beaucoup appris et nous avons montré de belles choses. Bien sûr, il y a eu des frustrations, mais il faut se rappeler que c’était l’année 1 d’un nouveau projet.
Vous avez parfois eu du mal à franchir le cap des quarts de finale cette saison. Comment l’expliquez-vous ?
C’est un mélange de plusieurs facteurs. Parfois, nous n’étions pas au niveau, parfois il nous a manqué un peu d’adresse ou de chance, et parfois nos adversaires étaient simplement meilleurs. Certaines situations charnières qui avaient tourné en notre faveur la saison précédente n’ont pas basculé cette année. Nous tirons des enseignements et reviendrons plus forts.
Toulouse a vocation à être la locomotive du 3x3 en France. Cela représente-t-il une pression supplémentaire, surtout pour les Jeux de Los Angeles ?
Pour le moment, pas vraiment. Nous savons que Los Angeles est un objectif, mais nous avons encore beaucoup de travail et d’étapes à franchir avant d’être en position de participer. Nous allons continuer à travailler, analyser cette première saison intense et repartir plus forts l’année prochaine.